Analyse politique, entrevues explosives et l’histoire inspirante de Marie-Josée!

S’excuser en couple, un art plus complexe qu’il n’y paraît! La psychothérapeute Esther Perel dévoile pourquoi certaines excuses échouent et comment l’estime de soi influence notre capacité à pardonner.

Ensuite, moment marquant dans le monde des médias : Sophie Thibault annonce sa retraite après 37 ans d’une carrière exceptionnelle, ayant brisé des barrières comme première femme à animer un bulletin solo en Amérique du Nord.

Côté quotidien, un débat s’enflamme : les parents devraient-ils encore faire le ménage dans la chambre de leurs enfants adultes? Enfin, la cohabitation est-elle un rêve ou un cauchemar? Nos animateurs explorent les petites (et grandes) choses qui rendent la vie à deux… parfois insupportable!

Un épisode rempli de réflexions, d’anecdotes et de débats savoureux!

Dans cet épisode de balado animé par Patrick Marsolais, Anaïs Favron et Isabelle Racicot, l’équipe se moque des pièges du clickbait avec humour, notamment en dévoilant un article sensationnaliste sur une prétendue relation de Patrick.

Ils accueillent ensuite Chloée Debois, nouvelle collaboratrice des vendredis, qui aborde un dilemme quotidien : faut-il se forcer à sortir même quand on n’en a pas envie ? Elle parle du concept de "JOMO" (Joy of Missing Out), l’art de dire non pour préserver son bien-être.

L’équipe explore également une question plus profonde : pourquoi certains parents ont du mal à dire "je t’aime" à leurs enfants.

Pour finir, Chloée partage sa surprenante expérience avec Chat GPT, qu’elle considère désormais comme son confident et conseiller incontournable.

Maïka se questionne sur son choix de partir à Walt Disney, malgré les appels au boycott des produits américains.

Anaïs mène une entrevue à l'aveugle avec une artiste accomplie, jonglant entre ses multiples projets, dont un album et un spectacle. 

Ils explorent la notion de bien-être, en discutant des avantages et des défis de choisir entre la colocation et la vie en communauté.

Enfin, ils se lancent dans une discussion sur l’âge idéal pour permettre à un adolescent de vivre seul, en s’interrogeant sur la responsabilité et l’autonomie nécessaires à cette étape.