À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand réagit à la détérioration du réseau routier dans plusieurs régions du Québec.
Selon le Journal de Montréal, qui a analysé les plus récentes données du ministère des Transports, 51 % des routes de la province présentent des déficiences, en hausse de 1 % par rapport à l'an dernier.
L'Abitibi-Témiscamingue est en tête de liste de ce classement alors que 70 % des routes sont jugées en mauvais état. L’Estrie et Chaudière-Appalaches suivent de près.
«Pas de surprise [...] Grosso modo, c'est une route sur deux, au Québec, qui est laissée à l'abandon [...] Un comité d'experts indépendants se dit préoccupé par la baisse des investissements de Québec dans l'entretien des routes. Dans une projection sur dix ans, si l'on tient compte de l'inflation, on met moins d'argent. Les routes vont continuer de se dégrader et ce sera toujours à recommencer. On a l'impression que ça ne finira jamais.»
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