Gildor Roy nous confie pourquoi il a la preuve que José Gaudet est une chochotte…

Dans cet épisode, Chloée Deblois confesse un petit stratagème douteux de stationnement qui se termine par une contravention infligée à Pascal Morrissette. Un ancien professeur de Chloée réagit en direct, faisant resurgir émotions et souvenirs. Entre rires et remords, ils discutent aussi des petites tricheries du quotidien, du choix de certains couples célèbres à ne pas vivre ensemble, et du besoin d’équilibre entre fusion et espace personnel. Enfin, Pascal raconte une drôle d’expérience de « forest bathing » en Nouvelle-Écosse, qui illustre l’importance de se reconnecter à la nature, même de façon inattendue. Un épisode mêlant humour, réflexions sur l’amour et retour à l’essentiel.

Pascal, Maïka et Chloée s’attaquent à notre rapport aux écrans : et si le retour au BlackBerry était plus qu’une tendance? Ensemble, ils explorent les bienfaits d’une pause numérique, évoquant surcharge mentale, liberté retrouvée et souvenirs d’adolescence! Entre confidences touchantes et fous rires, l’équipe partage anecdotes de jeunesse, premières amours et secrets bien gardés. La discussion glisse ensuite vers une réalité délicate : Maïka confie son inconfort face aux demandes de conseils pro de proches qui ne deviennent jamais clients. Où tracer la ligne entre générosité et exploitation? Puis, dans un échange éclairant sur l’immobilier, une révélation surprend Chloée : acheter un chalet locatif avant une maison, est-ce la clé vers l’indépendance? 

Dans cet épisode touchant, Pascal Morrissette raconte une expérience marquante : sa visite hésitante à l’exposition scolaire de sa fille se transforme en moment bouleversant lorsqu’il croise un petit garçon en pleurs, seul dans la foule. Cet instant devient le point de départ d’une réflexion sincère avec Maïka Desnoyers et Chloée Deblois sur l’impact réel de notre présence dans la vie de nos enfants. Les animateurs partagent des idées concrètes pour s’impliquer, même à distance, et discutent de l’importance de faire sentir aux jeunes qu’ils comptent. En parallèle, ils abordent leurs premières impressions les uns des autres et la manière dont la transparence et la bienveillance influencent les relations personnelles et professionnelles. Un échange sensible qui fait du bien et remet l’humain au centre.