La professionnelle en sexologie, Anne-Marie Ménard, confie avoir vécu des symptômes extrêmes (fatigue, anxiété, dépression) dès 34 ans, souvent mal diagnostiqués, jusqu'à ce qu'un bilan révèle une dominance œstrogénique traitée par hormones bio-identiques.
On bascule ensuite sur le phénomène de la « récession sexuelle » : le taux d'adultes sans rapport sexuel depuis un an est au plus bas en 50 ans.
Anne-Marie explore les causes sociales, culturelles et technologiques, soulignant l'impact des écrans et de la pornographie sur le désir et l'intimité relationnelle.