Et si la clé pour prévenir la violence conjugale se trouvait dans l’enfance?
La psychoéducatrice Sarah Hamel rappelle qu’un garçon qui apprend à nommer et vivre ses émotions devient un homme apaisé.
Derrière la colère, souvent, se cachent la peur et la tristesse.
Accueillir les larmes plutôt que les étouffer, parler de respect et de consentement dès l’adolescence: autant d’outils concrets pour bâtir des générations capables d’aimer sans dominer.