Élevée par une mère et une grand-mère fortes et autonomes, Maïka a développé une « hyper indépendance » nourrie par l’intimidation vécue à l’adolescence.
Refus d’aide, difficulté à déléguer et fatigue chronique en sont les conséquences. Avec le temps et la thérapie, elle réalise que demander du soutien n’est pas un signe de faiblesse, mais de force.
Aujourd’hui, elle veut briser ce schéma pour elle-même et pour sa fille, en apprenant à laisser les autres participer.