Marc Dupré nous parle de sa St-Valentin.

Sébastien Benoit et Maripier Morin abordent un sujet rarement discuté : le cancer de la prostate. À travers le documentaire Un crabe dans le pantalon, ils explorent les expériences d’hommes publics face à l’ablation de la prostate, aux effets secondaires et aux peurs intimes, tout en soulignant l’importance du dépistage. Sébastien partage sa propre visite médicale, entre embarras et situations cocasses, allant du stalking maladroit de sa jeune médecin aux comparaisons improbables avec les Ninja Turtles. Entre sérieux et humour, les anecdotes surprenantes s’entremêlent avec un détour inattendu : l’obsession du duo pour les couleurs, du turquoise mystérieux au rouge protecteur, révélant comment chaque teinte influence humeur, énergie et personnalité, tout en ajoutant un brin de folie au quotidien. 

Sébastien et Maripier explorent un monde où le plaisir se vit en plein jour! Sébastien, d’humeur cynique, retrouve foi en l’humanité grâce à une athlète polonaise vendant sa médaille d’argent pour sauver un bébé malade et la retrouve grâce à une généreuse entreprise. Le duo découvre ensuite les raves matinales, avec DJ, croissants et espresso avant 20 h, questionnant l’envie de faire la fête sans finir épuisé. Entre brunchs, matchs l’après-midi et soirées express, ils redéfinissent le fun. Maripier partage aussi sa course effrénée à Bratislava et Sébastien analyse l’histoire d’une femme vendant les Jordans de son chum pour se faire entendre. Humour, émotions et réflexions sur la rapidité et la générosité rythment cet épisode!

Maripier Morin partage une matinée digne d’un film d’action à la maison : tempête surprise, routes glissantes, enfants héroïques ou casse-têtes et pneus d’hiver hésitants. Maripier explore la « charge mentale » et ses réactions explosives, tout en naviguant dans la bienveillance retrouvée.  Avec Sébastien Benoit, ils discutent de la crise de l’adulte retardé, où responsabilités et quotidien semblent décalés. Entre dettes imprévues, brassées de linge coincées et week-end sans électricité, grandir apparaît comme un vrai parcours d’obstacles, mais pas sans humour.