La spécialiste en sexologie, Anne-Marie Ménard, dénonce le « marché de la vulve », une industrie florissante exploitant l'insécurité féminine avec des produits (gommes, huiles) inutiles, le vagin étant autonettoyant.
Elle souligne l'augmentation alarmante des labioplasties, motivée par des standards esthétiques irréalistes issus de la pornographie.
On explore ensuite le palmarès des recherches sur Pornhub Canada, révélant des tendances troublantes telles que la fétichisation et le racisme. Un appel est lancé pour sensibiliser les jeunes à la non-représentativité de la porno, dont la consommation est massive (3,2 millions de visites/jour).