Dans une prise de position à contre-courant, Léa remet en question la diabolisation constante du cellulaire chez les jeunes.
Chaque génération a eu son « fléau » : les jeux vidéo, la musique, Elvis… Pourquoi cette panique autour des écrans? Et si, au lieu de pointer du doigt, on reconnaissait aussi les aspects positifs?
Des ados créatifs, drôles, qui communiquent autrement. Et si on respirait un peu? Un regard nuancé et nécessaire sur une réalité bien actuelle.