Le 26 janvier débute la 11e saison de L’amour est dans le pré avec une fois de plus Katherine Levac comme animatrice!
L'univers paranormal de Christian Page
Nouveauté
27 épisodes
Animé par Christian Page
Phénomènes inexpliqués, étranges, mystérieux. Des enquêtes de fond, des témoignages exclusifs. Des conclusions surprenantes. Bienvenue dans l'univers paranormal de Christian Page.
Montage et mixage: Pierre Gervais
Épisodes
Depuis plus de 150 ans, la petite localité de Borley, dans l’Essex (Angleterre) attire les amateurs de fantômes du monde entier. Entre 1863 et 1939, les terres adjacentes à l’actuelle église médiévale étaient celles du presbytère, qualifié par certains de « la maison la plus hantée d’Angleterre ». Même si l’édifice a disparu depuis des décennies ― dans des conditions restées nébuleuses ― les fantômes, eux, n’ont apparemment pas quitté les lieux. Nombreux sont les « chasseurs de fantômes » qui auraient été témoins de phénomènes terrifiants à Borley. On raconte que ces terres sont maudites pour avoir jadis été souillées du sang d’innocents. Est-ce possible ?
En 2013, le film « La Conjuration » prenait l’affiche au cinéma. À en croire la publicité, son scénario serait basé sur une investigation menée par Ed et Lorraine Warren, un célèbre couple de démonologues américains. Au début des années 1970, les Warren auraient en effet mené une enquête à la ferme de la famille Perron, au Rhode Island. Les lieux étaient apparemment le théâtre d’inquiétants phénomènes paranormaux. Aux yeux de beaucoup, les Warren sont perçus comme des références… et pour d’autres, des fanatiques zélés. Le film « La Conjuration » a été commercialisé comme étant « basé sur une histoire vraie »… Mais vraie pour qui ?En 1440, à Nantes, était exécuté le baron Gilles de Rais, maréchal de France et courageux compagnon de Jeanne D’Arc durant la Guerre de 100 ans. Gilles de Rais n’était plus alors qu’un paria… un monstre fait homme. À en croire la légende, il aurait torturé, mutilé et assassiné des centaines d’enfants dans ses châteaux de Bretagne. Ces débauches de sang auraient été commises durant des cérémonies sataniques orchestrées par des férus d’occultisme ; des scélérats au service des perversions inavouables de leur maître. L’infâme baron Gilles de Rais ― alias Barbe Bleue ― a-t-il été le pire assassin occulte de l’histoire ?
La conquête de l’espace a donné lieu à des épisodes héroïques, des premiers hommes dans l’espace aux pas de Neil Armstrong sur la Lune. À en croire les amateurs d’OVNIS, cette épopée aurait aussi éveillé la curiosité d’intelligences d’outre-espace. Certains racontent que les vols habités des missions Mercury, Gemini, Apollo et des navettes spatiales auraient tous été suivis par des aéronefs d’origine extraterrestre. Ces présences extraordinaires auraient été décrites tant dans l’espace que sur la Lune. On raconte que la NASA avait même convenu de « mots de code » avec les astronautes pour tromper la vigilance des amateurs. Mythe ou réalité ?À en croire une rumeur persistante, à l’automne de 1943 la U.S. Navy aurait procédé à une expérience Top Secret visant à rendre invisible l’un de ses destroyers, le USS Eldridge. On raconte que durant expérience le navire n’aurait pas seulement « disparu » du port de Philadelphie, mais aurait aussi été téléporté un bref instant dans le port de Norfolk, une destination située à 350 km plus au sud. Les amateurs de mystères soutiennent que « L’Opération Philadelphie » était la phase originale d’une initiative beaucoup plus complexe de « machine à explorer le temps ». Ce projet serait toujours actif, mené depuis des installations secrètes sous la mythique base militaire de la Zone 51. Mythe ou réalité ?
De tous les phénomènes liés à l’univers du paranormal, aucun n’est aussi inquiétant que celui des combustions humaines spontanées (CHS). Dans ces histoires, tout s’articule comme si les victimes s’enflammaient de l’intérieur. Le phénomène est si violent qu’après coup, il ne reste bien souvent qu’un petit tas de cendres méconnaissables. Comment est-ce possible ? La science soutient qu’aucun élément anatomique ne pourrait déclencher un tel processus, ni de l’entretenir. Les faits suggèrent pourtant le contraire.
Le 5 décembre 1945, cinq bombardiers TBM Avenger de la marine américaine décollent de la base de l’aéronaval à Fort Lauderdale, en Floride (É.-U.). Pour les registres militaires, l’escadrille porte le nom de « Vol 19 ». Les 14 hommes d’équipage doivent participer à un exercice de routine au large de la péninsule. Au moment de prendre leur envol, les conditions météorologiques sont idéales. Aucun des appareils ne rentrera à la base et aucun débris ne sera jamais retrouvé. L’escadrille a disparu, comme s’il avait été gommé de la surface de la Terre. Cette étrange disparition va donner naissance à l’un des plus fascinants mystères du XXe siècle : le diabolique Triangle des Bermudes.
Chaque année ― principalement en Amérique du Nord ― des milliers d’animaux de ferme sont tués par des prédateurs, comme des loups et des coyotes. Cependant, à en croire les amateurs de mystères, de ce nombre plusieurs bêtes présentent des mutilations trop « chirurgicales » pour être l’œuvre de prédateurs. Qui plus est, dans ces cas précis, ce sont toujours les mêmes organes qui sont visés, surtout les organes reproducteurs. Si c’est vrai, qui sont donc ces mystérieux « bouchers fantômes » ? Des agents à la solde du gouvernement ? Des adorateurs du Diable ? Et pourquoi pas des extraterrestres ?
Au milieu des années 1960, à Madrid (Espagne), des amateurs d’ovnis commencent à recevoir de curieux courriers. Les lettres sont soigneusement tapées à la dactylo et leurs auteurs affirment être des extraterrestres venant de la planète UMMO. À les en croire, ils seraient arrivés sur Terre quelque 10 ans plutôt et, depuis, vivraient parmi nous. Certaines de ces lettres présentent des informations si novatrices que des scientifiques vont s’en inspirer pour mener des recherches révolutionnaires. Qui sont ces Ummites ? Des extraterrestres qui veulent notre bien… ou une plaisanterie savamment orchestrée ?
En 1995, un nouveau cryptide (un animal inconnu de la science) fait son entrée dans la littérature paranormale : El Chupacabra (littéralement « le suceur de chèvres »). Cette étrange créature ― parfois décrite comme une petite gargouille et parfois comme une espèce de canidé sans poils ― vampiriserait ses victimes sans se nourrir de leurs chairs. El Chupacabra tuerait uniquement pour le plaisir. Ses origines restent nébuleuses. Certains prétendent qu’il pourrait s’agir d’un être extraterrestre « abandonné » sur Terre (à l’image du pauvre E.T. du film de Steven Spielberg) ou plus inquiétant, d’une créature hybride issue de manipulations génétiques. Gare au Chupacabra !
En 1888, la ville de Londres (Angleterre) devient le théâtre d’une série de meurtres épouvantables. Entre le 31 août et le 9 novembre, cinq prostituées sont assassinées dans les quartiers miséreux du East End. Quatre d’entre elles sont sévèrement mutilées. Leur agresseur est clairement un psychopathe de la pire espèce. Après sa cinquième victime, le tueur s’évanouit dans le brouillard de la capitale en ne laissant qu’un pseudonyme en héritage : Jack L’Éventeur. Il ne sera jamais pris. Depuis, des dizaines de livres lui ont été consacrés, chaque auteur affirmant avoir percé le secret de sa mystérieuse identité. Vraiment ? Qui était Jack L’Éventeur ?
En 1968, un forain du Minnesota (É.-U.) exhibe sa toute nouvelle acquisition : un homme préhistorique conservé dans un bloc de glace. L’affaire fait sourire et les curieux ― qui déboursent quelques cents pour voir l’attraction ― sont mitigés. Si la plupart croient à une supercherie, d’autres restent indécis. Après tout, ce ne serait pas la première fois que l’un de ces freak shows présente des aberrations de la nature. Les enfants loups, la femme à barbe, ou l’homme-éléphant n’étaient-ils pas tous des curiosités 100% véritables ? Alors, pourquoi pas un homme préhistorique congelé ? L’affaire prend des dimensions nationales lorsque deux zoologues réputés affirment haut et fort ― après examen ― que l’homme congelé est authentique.
En 1764, un animal mystérieux apparaît dans la province du Gévaudan (l’actuelle Lozère), en France. Les paysans parlent d’une bête semblable à un loup, « mais ce n’en est pas un », insistent-ils. Pendant trois ans, la bête va faire plus d’une centaine de victimes, principalement des femmes et des enfants. Parfois les victimes sont dévorées, parfois simplement décapitées. Ses actions sont si déconcertantes que les habitants du Gévaudan en viennent à croire que la bête jouit d’habiletés surnaturelles. Plusieurs suspectent même que la bête soit « le bras armé » d’un maître humain ; un animal dressé pour tuer. Plus de 250 ans après ces crimes qui ont secoué le Gévaudan, l’identité zoologique de la bête demeure toujours une énigme.
Dans le cimetière de Christ Church, situé à la pointe sud de l’île de la Barbade, se trouve un vieux caveau familial… abandonné. Il s’agit du caveau Chase. Selon la légende, au début du XIXe siècle, le sépulcre aurait été le théâtre de phénomènes qui, encore aujourd’hui, défient toute explication rationnelle. On raconte que lors de trois ouvertures ― entre 1816 et 1819 ― les cercueils au caveau étaient déplacés. C’était un chaos indescriptible, comme si des forces invisibles s’étaient amusées à les balancer au travers de la chambre funéraire. Bien sûr, on inspecta la crypte en quête de réponses, mais en vain. Faute d’explication ― et de crainte qu’une peur superstitieuse ne se répande d’un bout à l’autre de l’île ―, le gouverneur ordonna que les cercueils soient retirés du caveau et enterrés ailleurs. Depuis, le caveau Chase est vide. Mais l’a-t-il jamais été ?
Dans l’univers des phénomènes paranormaux, les poltergeists ― ou « esprits frappeurs » ― sont difficiles à cerner. Sont-ce des revenants qui cherchent à attirer l’attention des vivants ? Ou sont-ce des manifestations provoquées involontairement par le « pouvoir de la pensée sur la matière » par des individus bien vivants et au centre de ces manifestations. Les poltergeists se résument généralement par des coups dans les murs, des meubles qui se renversent tout seuls ou des objets lancés au travers des pièces. Dans ce balado nous revisitons deux affaires de poltergeist célèbres. La première s’est déroulée à l’été de 1989 à Beauport (Québec) et la seconde en février 1970 à St. Catharines (Ontario). Deux affaires à ce jour demeurées inexpliquées.
En décembre 1972, le Vol 401 s’écrase dans les Everglades, en Floride. Il s’agit de l’une des pires catastrophes aériennes de l’histoire des États-Unis. Après l’enquête du Bureau de la sécurité des transports (NTSB), des pièces non endommagées de l’appareil accidenté sont récupérées et adaptées sur d’autres avions de la compagnie. Bientôt, raconte la rumeur, des phénomènes étranges commencent à se produire à bord des avions des Eastern Airlines. On parle surtout des apparitions des membres de l’équipage du Vol 401, tous décédés lors de l’écrasement de 1972. L’affaire a inspiré de nombreux livres, un film pour la télévision et même une chanson de Bob Welch, The Ghost of Flight 401.
Le 7 novembre 1990, des personnes réunies sur la terrasse de l’hôtel Hilton-Bonaventure, au centre-ville de Montréal, observent dans le ciel une étrange couronne composée de 7 ou 8 lumières ambre. Dans les jours qui suivent, l’histoire de « l’OVNI de Montréal » est sur toutes les lèvres. Si certains supposent de vulgaires reflets sur les nuages, d’autres n’hésitent pas à parler de visiteurs extraterrestres. Puis, deux ans plus tard, lorsqu’un rapport officieux vient confirmer la nature exotique du phénomène, l’incident passe du simple fait-divers local à celui d’événement national. La métropole québécoise a-t-elle réellement été le théâtre de l’une des plus sensationnelles apparitions d’OVNI de tous les temps ?
Au début de 1949, en banlieue de Washington DC (États-Unis), la résidence de la famille Hunkeler devient le théâtre de manifestations surnaturelles : meubles qui bougent tout seuls, coups frappés dans les murs, etc. Ces manifestations affectent particulièrement Ronnie, le fils unique des Hunkeler. En mars, en désespoir de cause, les Hunkeler s’en remettent à l’Église. Ronnie est transféré à St. Louis (Missouri) où il est soumis au grand rituel de l’exorcisme. Pour les prêtres à son chevet, il ne fait en effet aucun doute : Ronnie est possédé du démon. Quinze ans plus tard, son histoire servira de canevas à l’auteur William Peter Blatty pour son roman (plus tard adapté au cinéma) : L’Exorciste.
À la fin du mois de janvier 1959, neuf jeunes étudiants de l’École Polytechnique de Sverdlovsk (Union soviétique) se rendent dans une région éloignée de l’Oural pour y vivre une aventure de trekking en terrain hostile. Aucun n’en reviendra vivant. Un mois plus tard, des secouristes retrouvent les corps des neuf randonneurs. Certains sont morts d’hypothermie, d’autres de blessures internes très sévères. Le magistrat chargé de l’enquête conclura que les victimes sont décédées pour avoir cédé à « une force inconnue et irrésistible ». L’affaire Dyatlov ― baptisée ainsi en l’honneur du leader du groupe, Igor Dyatlov ― va devenir le plus grand mystère de l’histoire de l’Union soviétique.
Le 5 novembre 1975, près de Snowflake, en Arizona (États-Unis) sept travailleurs forestiers observent un étrange engin volant qui évolue à la hauteur de la cime des arbres. L’objet ressemble à deux bols renversés l’un sur l’autre. Soudain, un rayon bleu, semblable à un jet laser, sort de l’OVNI et frappe l’un d’eux ― un certain Travis Walton ― à la poitrine. Paniqués, les autres bûcherons montent à bord de leur camionnette et s’enfuient sans demander leurs restes. Trente minutes plus tard, lorsqu’ils reviennent pour s’enquérir du sort de leur ami, ils ne le trouvent nulle part. Travis Walton a disparu…
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