Trump, scandales et résilience de Geneviève Jeanson: décryptage sans filtre

Dans cet épisode des Filles du lunch, Marie-Ève Janvier et Maripier Morin plongent les auditeurs dans un cocktail aussi savoureux que surprenant. D’abord, elles rient (jaune!) de l’enfer des emplettes pour enfants : gants orphelins, tuques rebelles et factures salées transforment chaque virée à l’Aubainerie en véritable épreuve parentale. Les crises de bacon et la préadolescence ne facilitent rien, et l’anxiété des parents devient presque un personnage à part entière. Puis, changement de registre : Marie-Eve ouvre la porte de son parcours personnel avec Marielle, coach de libération. Entre acupression et exploration karmique, elle revisite l’héritage de ses ancêtres, notamment celui de son arrière-grand-mère Florence. Ces révélations offrent un regard touchant sur la force des femmes de sa lignée et sur l’impact du passé dans son présent. Enfin, le duo s’amuse autour d’un rituel lunaire : l’éclipse de septembre devient prétexte à formuler dix vœux, un exercice aussi mystique qu’inspirant. En prime, une visite de Marilou Wolfe ajoute complicité, confidences et beaucoup de rires. Un épisode riche en émotions et en surprises!

Dans Les Filles du lunch, le quotidien se transforme en véritable enquête policière quand Maripier perd ses clés de voiture. La panique s’installe aussitôt dans le studio : suspects improbables, théories farfelues et interventions éclatées de collègues alimentent un récit à la fois hilarant et révélateur. Rapidement, la discussion glisse vers les réalités du TDAH, cette tendance à égarer constamment ses affaires, et les solutions qui promettent de sauver la mise : des AirTags aux montres intelligentes… à condition de ne pas oublier de les charger! Mais le chaos ne s’arrête pas aux objets perdus.  Entre humour, autodérision et solidarité, l’épisode illustre avec brio les petites catastrophes du quotidien, qui finissent toujours par créer de grands éclats de rire.

Dans cet épisode, Marie-Eve Janvier et Maripier Morin partagent des anecdotes cocasses et parfois traumatisantes : Maripier se souvient d’un plateau français où on l’a appelée « Mari PIED », tandis que Marie-Eve raconte un moment gênant avec Thierry Ardisson sur Tout le monde en parle. Elles abordent ensuite l’ADISQ 47ᵉ édition, ses nominations surprenantes et la nécessité de voter avant le 8 octobre. Avec Geneviève Pettersen, elles explorent le phénomène des « tradwives », ce retour aux valeurs traditionnelles, ses impacts sur les femmes modernes et la société, entre nostalgie et conservatisme séduisant. Maripier révèle sa passion pour le lavage, transformant cette corvée en art et révélant des petites victoires du quotidien, mêlant humour et réflexions personnelles.