Une neurologue de Harvard renverse la perception populaire sur les personnes qui ont la larme facile.
Contrairement à la croyance, pleurer facilement ne serait pas un signe de faiblesse émotionnelle, mais plutôt une preuve de supériorité cognitive.
Leur cerveau établirait un pont plus rapide et plus fort entre les zones d’émotion et de logique, permettant un traitement de l'information émotionnelle en temps réel.
Ces individus seraient ainsi de meilleurs leaders, capables de prédire les conflits avec une précision déconcertante. Loin de perdre le contrôle, ils démontrent une profonde intelligence émotionnelle.